reproduction 06 - 30 mai 2021*
plantes et animaux - 30 mai 2021
Ethologie
Bribe
Plantes et animaux
Tous les vivants sont en quête permanente de ressources de reproduction. Dès l'âge atteint pour cette activité, tous les vivants se reproduisent.
Les monocellulaires se divisent en deux nouvelles cellules.
Les multicellulaires repartent à zéro car étant des corps complexes et composés d'un grand nombre de cellules, la scissiparité d'un animal complet est impossible.
Un gamète femelle fusionne avec un gamète mâle pour former une première cellule qui elle se développe ensuite par scissiparité mais en fonction du potentiel génétique contenu dans la molécule ADN que comporte chaque noyau de chaque cellule. Là où il faut un œil les cellules se transforment en œil, là où il faut du sang il y a du sang et là où il faut du cerveau ou des os, il y a l'un ou l'autre. Et cela donne quelques centaines de cellules pour les plus petits vivants et 100 000 milliards pour l'humain, par exemple.
Le moment important c'est la rencontre et la fusion des deux gamètes de sexes différents. Le gamète femelle porte les premiers aliments nécessaire au zygote alors que le gamète mâle n'est porteur que d'un génome. C'est pourquoi, le mâle animal introduit son gamète à l'intérieur de la femelle animale. D'un côté il y a un organe émetteur - en général un sexe mâle - et de l'autre, un organe féminin - un sexe féminin.
Selon la règle darwinienne de la meilleure adaptation, comme n'apparaissent que les vivants résultats de la fusion des deux gamètes, tous les vivants ont tendance à se reproduire en permanence. Ceux qui ne se reproduisent pas, ne transmettent pas leur non fertilité.
C'est une activité quotidienne qui est tempérée par l'environnement. Plus les vivants sont de masse importante, plus les naissances sont espacées et peu nombreuses.
Chez les animaux eu-sociaux il y a, au moins deux cas de figure. Les hyménoptères réservent l'acte de reproduction à un vivant que l'on appelle reine. Chez les humains existent le couple monogamique ou polygamique éternel qui favorise le rapport exclusif entre une femelle et un mâle. L'acte de reproduction peut être quotidien mais en faisant en sorte que l'apparition d'un nouveau vivant soit fort limité.
A noter que 90% des oiseaux - non eu-sociaux - sont monogames éternels ou annuels car l'alimentation et l'élevage des nouveaux vivants dans les nids exigent une forte solidarité entre le femelle et le mâle.
Autre remarque.
Chez les plantes, il y a également des cellules sexuelles femelles et des cellules sexuelles mâles. Mais comme ces plantes sont quasi immobiles, la rencontre entre l'une et l'autre se fait de manière différente, par des moyens externes à ces vivants, la pollinisation provoquée par le transport aérien ou par les insectes. Dès la rencontre de la cellule sexuelle femelle et de la cellules sexuelle mâle, le processus qui produit le nouveau vivant est ressemblant à celui des animaux mais selon l'organisation de ces vivants
Copyright GS - 30 mai 2021